Si è aperta oggi a Tripoli l'assemblea generale degli azionisti di Africa N. 1, emittente gabonese fondata da una società mista di giornalisti libici e gabonesi e controllata al 52% da capitali libici. Il progetto, nato diversi anni fa per iniziativa del presidente del Gabon, Omar Bongo Ondimba, sembra essere entrato in crisi di identità, motivazioni e capitali. Oltre all'impianto in onde corte di Moyabi inaugurato nel 1979, Africa N. 1 è presente in FM in 14 capitali africane. Per anni i suoi potenti relay hanno trasportato i programmi di diversi broadcaster internazionali (perfino le trasmissioni di Radio Giappone in Italiano venivano da Moyabi) ma oggi molte di queste ritrasmissioni sono cessate per mancanza di committenti.
I toni del comunicato stampa ufficiale sono roboanti, come avviene spesso quando c'è di mezzo Qaddafi, ma tra le righe è facile leggere la triste conclusione di sempre: non ci sono più né soldi, né interesse nel continuare a trasmettere.
I toni del comunicato stampa ufficiale sono roboanti, come avviene spesso quando c'è di mezzo Qaddafi, ma tra le righe è facile leggere la triste conclusione di sempre: non ci sono più né soldi, né interesse nel continuare a trasmettere.
Radio "Africa N° 1": L'Assemblée générale se réunit à Tripoli
Tripoli - 06/01/2008
Le secrétaire du comité de direction de l'Office général des radiodiffusions libyennes, Abdallah Mansour a ouvert dimanche à Tripoli, la réunion de l'Assemblée générale de la radio "Africa n° 1", une société mixte libyo-gabonaise de journalistes libyens et gabonais.
M. Abdallah Mansour a affirmé que la vision du guide Kadhafi relative à la révolution culturelle en Afrique a jeté des bases solides pour immuniser les citoyens africains à travers une profonde sensibilisation pour faire face à toute sorte d'hégémonie et d'exploitation et pour se libérer des séquelles de l'héritage colonial.
Il a précisé que l'Afrique regorge de ressources humaines bien formées notamment les compétences dans le domaine médiatique capables de construire des institutions et leur gestion d'une manière à garantir l'exploitation optimale des ces capacités dans la bataille de la construction de l'unité du continent, son développement, son progrès et pour contrer les images inexactes que l'autre essaie d'ancrer injustement a détriment du continent pour justifier les tentatives du retour de la colonisation et d'imposition de nouveau de la tutelle étrangère.
Le secrétaire du comité de direction de l'Office général des radiodiffusions libyennes a affirmé que Radio "Africa N° 1" qui dispose d'un centre de diffusion sur les ondes courtes au Gabon et 14 stations de retransmission dans 14 capitales africaines sur les ondes de fréquence "FM", contribuera à assumer cette responsabilité historique d'information au niveau du continent.
Le comité de direction de la société libyo-gabonaise Radio "Africa N° 1" a consacré, sa première réunion dimanche à Tripoli, à l'examen de l'élargissement du champ de diffusion de la radio pour couvrir tout le continent du point de vue audiovisuel par l'utilisation des services du premier satellite africain "QAF1" et cela par le biais de "PanAfricansat" qui est le premier fournisseur africain unifié d'accès aux diverses communications par satellites.
"Africa N° 1" dont le siège se trouve dans la capitale gabonaise Libreville, couvre actuellement 12 pays africains sur les fréquences de la bande "FM" tout comme elle couvre la périphérie de la capitale française Paris pour permettre aux immigrés et aux communautés africaines qui y résident de suivre le mouvement que connaît le continent sur la voie de l'édification des Etats Unis d'Afrique.
Cette radio couvre aussi sur les ondes courtes plusieurs pays du monde.
La Libye détient, rappelle-t-on, 52% du capital d'"Africa N° 1".
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